Comment marche le Biofield Tuning ?
Notre corps – un instrument accordé par son environnement
La science montre que nous percevons le son à travers tout notre corps. Notre peau, nos os, et l’eau qui constitue une majeure partie de notre corps, sont tous des conducteurs d’ondes sonores. La membrane de chaque cellule dans notre corps porte des antennes externes, les ciliés primaires, qui vibrent en accord avec les vagues vibratoires que nous leur transmettons de notre environnement.
Mais le son travaille aussi dans le champ énergétique qui englobe le corps. En 1994, un panel de scientifiques à l’Institut Nation de Santé aux Etats-Unis a adopté le mot « biofield » afin de décrire ce champ d’énergie et d’information qui existe dans et autour de notre corps.


Le « Biofield »
Ce « biofield » est composé d’énergie électromagnétique, ainsi que de ce que nous nommons l’énergie subtile ou, en Asie, le chi. L’énergie subtile est connue aussi sous le terme « bioplasma », un « fluide » magnétique qui entoure le corps de tout être vivant, faune et flore. La densité et la viscosité de bioplasma varient.
Selon les cultures anciennes et modernes d’Inde, du Japon, ou encore de la Chine, ce champ possède une anatomie bien définie qui comprend des chakras (« roue » en Sanskrit). Les chakras sont des tourbillons d’énergie. Il n’est dès lors pas surprenant de constater qu’un groupement de nerfs se positionne à l’endroit de chaque chakra.
La carte énergétique de nos expériences de vie
Depuis plus de vingt ans, la fondatrice de Biofield Tuning, Eileen Day McKusick, explore l’impact des tons purs de diapasons sur le champ énergétique. Alors, qu’a-t-elle trouvé ? Premièrement, ses recherches indiquent qu’une trace énergétique ou électromagnétique des expériences qui nous ont marqué dans la vie est stockée dans la partie du champ qui entoure le corps. En plus, différents types d’expériences se trouvent dans différents endroits du champ selon un pattern consistant entre individus, ce qui a permis de cartographier l’anatomie du champ.



Le travail thérapeutique
Deuxièmement, les différentes émotions liées à ces expériences produisent des fréquences diverses. Quand le/la thérapeute fait sonner le diapason et le passe à travers le champ, ces fréquences diverses se reflètent dans les tons harmoniques supérieurs que produit le diapason, au moment où il les croise.
Grâce à la carte du champ et la compréhension du « langage » du diapason, le/la thérapeute peut détecter des endroits de dissonance dans le champ, identifier leur source, interrompre le pattern déséquilibré qui leur est associé et ré-établir une fréquence équilibrée, harmonieuse et cohérente dans la partie du champ travaillé. La dissonance se dissout, la résistance se relâche et il y a une décontraction de la tension dans le corps.
En résumé, avec le diapason, nous arrivons à « accorder » le champ. Selon le principe de la résonance harmonique, nous entraînons une cohérence vibrationnelle dans le champ en l’exposant à la cohérence vibrationnelle du diapason.
Pour en savoir plus :
Visitez le site de Biofield Tuning (en anglais) : https://www.biofieldtuning.com
Comment se déroule une séance ?
Pendant une séance de Biofield Tuning, on est allongé sur une table de massage.
Je commence par l’ouverture des circuits énergétiques du corps et du biofield, en plaçant les diapasons lestés sur certains méridiens du corps et en activant les diapasons dans le champ.
Par la suite, une fois que nous avons localisé une zone du corps et du champ qui a besoin de travail, j’active un diapason et je scanne le champ énergétique en commençant par le bord extérieur du champ. Je suis à la recherche de zones de résistance et/ou de turbulence dans le champ. Ces zones se manifestent dans le changement des vibrations du diapason (signe tactile) ainsi que dans le changement subtil des tons qu’émet le diapason (signe auditif).


Quand je rencontre une telle zone, je continue à activer un diapason dans cette zone de fréquences perturbées. Selon les recherches effectuées par la fondatrice de Biofield Tuning, Eileen McKusick, la vague régulière de son du diapason entraîne une réorganisation vibratoire dans cette partie du champ, ce qui permet au corps de s’accorder et de regagner un pattern cohérent et harmonieux de vibrations là où nous avons travaillé.
La dissonance et la résistance dans le champ se dissolvent, ce qui correspond à un relâchement de tension dans le corps. Cet input de tonalités régulières semble aider le corps à traiter l’empreinte énergétique d’une expérience vécue dans le passé et, suite au déblocage de la zone, à réintégrer l’énergie libérée.
En travaillant avec la carte anatomique du champ énergétique—carte développée pendant plus de vingt ans par Eileen McKusick—nous pouvons associer les blocages que nous trouvons dans le champ non seulement à un certain type d’expérience énergétique vécue, mais aussi à l’âge approximatif de la personne au moment où elle a vécu cette expérience. Autrement dit, nous travaillons avec l’autobiographie énergétique de la personne. Le fait de régulariser les ondes du champ tout en libérant l’énergie bloquée et en la recentrant amène un calme et une clarté, tout en fournissant une détoxification énergétique.

Combien de séances ?
Il est toujours recommandé d’avoir une première séance afin de découvrir ce que c’est le Biofield Tuning. Cependant, afin d’accomplir une transformation énergétique importante, nous recommandons une série de trois séances hebdomadaires. Ceci permet de travailler assez profondément sur un ou plusieurs aspects de santé et/ou de bien-être.
Il n’y a pas de limite au nombre de séances et aux bénéfices que vous pouvez tirer de Biofield Tuning. Chaque séance construit sur les acquis des séances précédentes et permet de maintenir sinon augmenter votre énergie vitale et votre bien-être.

Après la séance?
En plus des séances elles-mêmes, je suis heureuse de fournir aux gens intéressés des idées d’activités sonores pour consolider ce que nous avons accompli lors des séances.